Beetlejuice est un film du réalisateur Tim Burton réalisé en 1988 pour le premier et en 2024 pour le deuxième – avec la même actrice pour Lydia Deetz et aussi le même acteur pour Beetlejuice . Le film est super avec de bons effets pour Beetlejuice Beetlejuice
Snyopisis du Premier
Affiche du premier
Adam et Barbara Maitland, un couple de jeune mariés heureux, meurent stupidement d’un accident de la route en ayant voulu éviter un chien.
Ils deviennent des fantômes incapables de sortir de leur maison, alors que de nouveaux et insupportables propriétaires, les Deetz, s’y installent.
Devant leurs efforts infructueux pour chasser ces derniers, et malgré leur complicité avec Lydia, la mélancolique fille des Deetz, ils font appel à Betelgeuse (plus facilement prononçable et reconnaissable sous le nom de Beetlejuice), un «bio-exorciste» fantôme, excentrique et imprévisible.
affiche de promotion du deuxième film.
Synopsis du deuxième
Après une terrible tragédie, la famille Deetz revient à Winter River. Toujours hantée par le souvenir de Beetlejuice, Lydia voit sa vie bouleversée lorsque sa fille Astrid, adolescente rebelle, ouvre accidentellement un portail vers l’Au-delà. Alors que le chaos plane sur les deux mondes, ce n’est qu’une question de temps avant que quelqu’un ne prononce le nom de Beetlejuice trois fois et que ce démon farceur ne revienne semer la pagaille…
La comédie musicale
Les personnages de la comédie musicale sont joués par Sophia Anne Caruso pour Lydia Deetz et Alex Brightman pour Beetlejuice
Synopisis Comédie musicale
Lydia Deetz, adolescente, vient de perdre sa mère. Son père, ne remarquant pas la tristesse de sa fille, déménagement dans une nouvelle maison pour commencer une nouvelle vie. Cette maison est hantée par un monstre millénaire qui est invisible aux yeux des humains. Cette maison est également hantée par un couple récemment décédé et mécontent qu’une nouvelle famille s’installe dans leur maison.
Quand Lydia voit Beetlejuice, il la supplie de dire son nom trois fois de suite pour qu’il soit visible des vivants. Ensemble, ils vont s’allier pour effrayer son père, et toute personne qui s’approche de la maison.
Mais libérer Beetlejuice de son sort amènera du chaos, des rencontres inattendues et des réalisations et toutes sortes de rebondissements desquels nos personnages sortiront morts ou vivants
Musiques
Say my name
Tim Burton qui est-il?
Tim Burton est né le 25 août 1958 et a grandi dans la maison familiale de Burbank, une petite ville californienne située aux alentours de Los Angeles qui avait pour particularité d’accueillir bon nombre de studios de cinéma très renommés tels Columbia, Warner Bros. et surtout Disney.
Burbank peut sembler être un endroit particulièrement excitant pour le futur réalisateur que sera Tim Burton
Le père de Burton travaille au centre sportif de la ville en tant qu’ entraîneur de base-ball tandis que sa mère tient une boutique de cadeaux orientée vers les décors félins.
Introverti et éprouvant des difficultés autant à la maison qu’à l’école, il passe le plus clair de ses temps libres à regarder des films de monstres et d’horreur, à la télé ou au cinéma. Il y découvre donc un certain cinéma qui aura une influence cruciale sur sa carrière à venir, au travers des films de la Hammer (un studio anglais qui produisit des films d’horreurs “gothiques” depuis la fin des années 50 aux années 70), l’emblématique acteur Vincent Price (auquel il rendra plus tard hommage et qui deviendra son ami) ou l’excentricité du réalisateur Ed Wood (au sujet duquel il fera également un film).
« Quand tu es plus jeune, tu crées ta propre mythologie et tu détermines ce qui te touche. Et ces films, leur poésie, ces personnages plus grands que nature qui traversaient tant de tourments – la plupart imaginaires – m’interpelaient comme d’autres enfants ont pu être interpelés par les films de Gary Cooper ou John Wayne » Tim Burton
Hormis ce goût pour le cinéma de série B voire Z, il est un enfant comme les autres, qui aime dessiner, jouer ou regarder passer les avions décollant et atterrissant de l’aéroport tout proche.
Quelques faits anecdotiques marquent tout de même son enfance, comme le fait de terroriser son petit voisin en lui faisant croire à l’invasion imminente des martiens, ou encore le fait que ses parents aient muré, pour une raison inconnue, la fenêtre de sa chambre donnant vue sur le jardin. Il se voyait alors obligé d’escalader son bureau pour pouvoir apercevoir l’extérieur, événement qu’il associa
“à la nouvelle d’Edgar Allan Poe où un homme est emmuré vivant et brûlé vif. Voilà le genre de sentiments que j’éprouvais à l’égard de mon monde. Burbank, cet endroit mystérieux! “.
Son goût pour la production artistique se développe également très tôt. Goût pour le dessin en premier lieu. Le jeune Burton aime par dessus tout griffonner, habitude qui ne le quitte plus par la suite. Il développe d’ailleurs dans cet art un talent certain, vite remarqué par les autorités locales qui lui confient en 1972 la responsabilité de décorer l’ensemble des véhicules des services d’entretien de Burbank.
Le dessin est pour moi autant un moyen de s’évader du monde réel qu’un langage à part entière que j’utilise volontiers pour m’exprimer.
Son goût pour le dessin se double d’un goût prononcé pour la réalisation cinématographique. Ainsi, influencé par les films vus au cinéma et à la télévision et armé d’une caméra Super 8, il dirige avec quelques amis de petits cours métrages, mêlant souvent animation en stop-motion et prises de vues réelles. Burton le dit lui-même, ces films ne sont pas d’une grande qualité, loin s’en faut, mais ils constituent néanmoins pour lui une première approche pratique au monde du cinéma et révèlent déjà les goût qui sont à la base de l’ensemble de sa carrière.
S’entendant apparemment peu avec sa famille, il quitte la maison familiale à 12 ans, et s’en va vivre chez sa grand-mère, qui lui loue un petit studio indépendant dès ses 16 ans.
Merci d’avoir lu
Source : https://www.tim-burton.net/lhomme/