Les femmes : où sont-elles ?

La manifestation sur les violences faites aux femmes :

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Voici une photo montrant un groupe de personnes qui brandissent une affiche disant : VIOLENCES CONTRE LES FEMMES
STOP !

  • Le samedi 23 novembre 2019 , 49 000 personnes se sont regroupés à Paris pour dénoncer les violences faites aux femmes comme vous pouvez le voir ci-contre :
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Voici une photo montrant un groupe de personnes qui brandissent une affiche disant : STOP AUX VIOLENCES SEXISTES ET SEXUELLES
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9 femmes sur 10 a déjà été agréssée verbalement ou bien sexuellement.

Ces violences se traduisent par :

– les feminicides ( meurtre de femmes ou de jeunes filles lié au fait qu’elles sont des femmes ). En prenant l »exemple de l’année 2019, au moins 142 feminicides ont été reconnus par les associations , que se soit par son ex-conjoint ou par compagnon.

– les violences sexistes ( attitude discriminatoire en fonction du sexe, basée sur une idéologie ). 99% des femmes ont déjà été harcelées dans les transports publics.

– les violences sexuelles qui comprennent les viols ainsi que le harcèlement sexuelle. Sur Internet , un hashtag a été lancé pour les femmes qui ont déjà subis ce genre de violences : c’est le #MeToo.

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  • le samedi 7 mars 2020 , une manifestation féministe a eu lieu pour lutter contre toutes les violences possibles faites aux femmes et contre les feminicides. Cette manifestation était encadré par des CRS qui sont restés calmes tout au long du parcours : ces manifestantes et manifestants sont passés par la place des Fêtes puis Belleville et la République via la rue Faubourg-du-Temple ou tout a commencé.
  • Jusqu’à présent , aucun désagrément n’avaient été causé par les manifestants : aucune casse, aucune violence ni aucun coup de feu. Mais lorsque la manifestation s’est arrêtée à la rue Faubourg-du-Temple, les policiers ont encerclé les manifestants(antes) en lâchant des bombes lacrymogènes sur eux(elles). Les policiers ont commencé à les attraper lorsque les manifestants(antes) les fuyaient. D’après l’interview sur « Konbini » de 4 femmes présentes, les CRS n’avaient aucune raison d’intervenir dans cette manifestation : « elle étaient dans les règles ». Ces femmes ont donc été mises en garde à vue. Elles se sont senties humiliées et en ont tiré la conclusion que : « les policiers détestent les femmes ».
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Voici des femmes qui se battent pour leurs droits : celles-ci portent les mêmes vêtements que dans le célèbre tableau : »We Can Do It ».